Les activités pratiquées au club : SKI, ESCALADE, ROLLER ne sont pas plus dangereuses que toutes les autres. Il faut savoir que le foot et la randonnée pédestre compte chaque année le plus d'accidentés (peut-être aussi parce qu' ils comptent un très grand nombre de pratiquants, réguliers ou occasionnels).

Nous dirons pour ces trois sports qu'ils sont SIMPLEMENT PLUS ENGAGES. Sachant que dès leur pratique au club, l'accent sur la SECURITE est de MISE, chacun connait de suite le RISQUE et est à même DE LE GERER. Pour la "petite histoire" le club compte à ce jour :
- 2 accidents de ski alpin (1 poignet cassé maxi),
- 2 accidents d'escalade (chutes de 7 à 9 mètres en salle, sans bobos, juste un peu KO !),
- 1 accident en roller (avant bras cassé),
pour plus de 4 000 adhérents depuis 1981.

Pour conclure, 5 accidentés c'est toujours 5 de trop, même si le risque zéro n'existera jamais !

- enfant de 4 à 9 ans : séance chaque mercredi de 17h30 à 19h00 au gymnase de la Barollière, inscription au mois à 30 € comprenant l'adhésion et l'assurance, prêt du matériel.

- enfants de 10 à 17 ans : séances les lundis et jeudis de 17h30 à 19h00 au gymnase de la Barollière, tarif pour l'année 55 € (à l'année) comprenant l'adhésion, l'assurance, le prêt du matériel la première année, cette adhésion de loisir ne permet pas la compétition,

- adultes à compter de 18 ans : séances les lundis de 19h à 21h et jeudi (ouvert) de 17h30 à 19h au gymnase de la Barollière, tarif 65 € (à l' année) comprenant l'adhésion, l'assurance, le prêt du matériel la première année, cette adhésion de loisir ne permet pas la compétition,

- adultes et enfants à compter de 10 ans qui souhaitent participer aux compétitions : mêmes séances et lieu que ci-dessus, tarif 95 € à l'année comprenant l'adhésion, l'assurance, le prêt du matériel la première année, sorties et compétitions sont gratuites donc à la charge du club. Certains stages bénéficient d'un tarif réduit.

Pour tous :
- la première séance est un essai gratuit,
- le club accepte les différentes aides : CAF 54, CG54, aides CE, tickets jeunes, chèque vacances etc ...

 

Vous êtes enthousiaste à l'idée de glisser sur les pistes cyclables et de débuter le roller, c'est une excellente chose mais attention de ne pas vous brûler les ailes ! Tel Icare qui a voulu voler plus haut et dont les ailes ont fondu, voici quelques conseils pour ne pas se laisser griser trop vite par vos chères roulettes...

Par Alfathor

 

Raisonnable tu resteras...

Cela parait tellement facile, mettre un pied devant l'autre. Quand on regarde un patineur à l'aise sur ses rollers, on a vite l'impression que la technique du patinage est une évidence. Souvenez vous quand même qu'il vous a fallu 10 à 15 mois environ après votre naissance pour vous dresser sur vos membres inférieurs, non sans avoir malmené votre derrière. Comme dans tout sport, quelques précautions s'imposent lors de la phase d'apprentissage pour progresser en sécurité, conserver votre intégrité physique (et votre ego).

1) Utiliser des patins trop grands

Un ami voit votre attirance pour le roller et propose de prêter sa paire de roller en taille 47 fillette... alors que vous ne chaussez que du 43 ! Oubliez ! Il faut chausser un patin de la bonne taille, au risque de nager dedans et de n'avoir aucun contrôle dessus. Vous verriez vous faire un marathon avec des tongues ? Non, bien évidemment, la taille juste vous garantit une bien meilleure maîtrise de votre paire de roller... sans parler des risques d'échauffements et d'ampoules à vos petons...

2) Opter pour un modèle inadapté à votre pratique

Tout comme on ne pratique pas la course à pied avec des chaussures de chantier ou le vélo tout-terrain avec un modèle course, chaque pratique nécessite une paire de roller adapté. Pour aller plus loin, on peut même dire que dans chaque pratique du roller, selon votre niveau d'expertise, tel ou tel modèle sera plus ou moins adapté.
Dans un premier temps, si vous êtes adepte des randonnées roller, ne choisissez pas directement un patin avec de trop grandes roues ou une chaussure trop basse n'offrant pas suffisamment de maintien... chaque chose en son temps !

3) Ne pas porter de protections

Est-ce qu'il vous viendrait à l'idée de faire du ski en maillot de bain ? (Ok, certain(e)s le font...). Autre exemple alors... du football américain ou du painball sans armure ? Bien évidemment non, notre instinct nous pousse généralement à nous protéger des chocs et des douleurs... alors pourquoi se lancer sur des engins que l'on ne maîtrise pas ou peu sans un minimum de protection ?
Trop souvent les enfants sont lâchés dans la nature sans le moindre équipement de protection. Pourquoi ce qui semble si naturel dans certaines pratiques ne l'est pas en roller ? Optez au minimum pour une paire de protège-poignets, mais l'ensemble coude/genoux/poignets et casque est vivement recommandé. Et ce qui vaut pour les enfants vaut encore plus pour les adultes, beaucoup plus haut, moins stables et moins habiles sur les roulettes.

4) Se lancer dans une descente sans savoir freiner

Là encore, qui aurait l'idée de dévaler une pente en voiture en sachant pertinemment qu'il est impossible freiner ? S'en remettre au destin n'est pas un choix des plus rationnels. Prenez-le temps de maîtriser le freinage avant d'aller trop vite, d'abord sur le plat dans un endroit tranquille, puis en descente douce. Mieux : apprenez même plusieurs techniques de freinage différentes pour ne jamais être pris au dépourvu.
Dans la même logique, beaucoup de patineurs sont capables de rouler vite rapidement sur le plat, après quelques heures de patinage. Pour paraphraser une célèbre marque de pneumatiques : "sans maîtrise, la puissance n'est rien". Bref, apprenez à freiner avant d'aller vite.

5) Voir trop grand

Nous avons souvent une haute estime de nous-mêmes et de nos capacités, ce n'est pas une mauvaise chose en soi, cela nous permet d'avancer, d'avoir confiance en nous, d'aller au delà de nos limites... mais comme dirait mon professeur de psychologie : la difficulté de la tâche doit être optimale et non pas maximale ! Autrement dit, fixez des objectifs raisonnables et atteignables au risque de vous démotiver et de laisser tomber le roller. Si vous souhaitez atteindre un but fixez vous des buts intermédiaires atteignables pour valider votre progression.
Par exemple, si vous voulez faire un marathon en roller, commencez par aller au bout d'un 10 km, d'un semi-marathon... allez-y progressivement ! Même chose pour la technique, ne vous lancez pas dans un slalom sur un pied en arrière si vous ne savez pas encore patiner en arrière par exemple.
Faites les choses dans l'ordre !

6) Je suis le roi de la route !

Aussi bon patineur que l'on puisse être, on ne pèse pas lourd face à une calandre de 4x4, on ne doit jamais oublier que l'on est pas seuls sur les pistes cyclables et sur la route... d'autant plus que pour l'instant, le roller est encore considéré comme piéton, par défaut. On est donc à peine tolérés sur les pistes cyclables et totalement à la merci d'un automobiliste mal intentionné ou mal luné sur la route. Respectez donc les règles de circulation et restez courtois pour votre propre sécurité !

7) Fast and furious

La première des règles de sécurité est l'anticipation du danger. Les grands pilotes ou les grands joueurs d'échec sont ceux qui sont capables de prévoir les bonnes trajectoires ou les mouvements de l'adversaire avant même qu'ils arrivent. Même chose au quotidien quand vous êtes en voiture, savoir conduire, c'est prévoir. En roller, c'est pareil ! Si vous ne maîtrisez pas encore vos trajectoires et votre freinage, prenez le temps de bien ralentir avant les intersections ou de croiser, un vélo, un chien, une vieille dame...

* en salle, gymnase (comme en hiver) : une bonne tenue sportive, avec plusieurs couches que l'on peut enlever au fur-et-à-mesure durant la séance,

* en extérieur : c'est l'époque des beaux jours, donc casquette sous le casque, lunettes de soleil (évite les branchages et les moucherons dans les yeux), un sweet (on peut retrousser les manches), un bon vieux jean usagé (évite les grosses éraflures en cas de chute).

Dans les deux cas, tojours quelques barres énergétiques et de ... l'eau !!!

Au ski, les enfants sont acceptés dès 4 ans, s'il ne savent pas skier. Jusqu'au niveau 1ère Etoile de l' ESF les séances ont lieu chaque mercredi, à compter de la 2e Etoile il est possible de faire les sorties du dimanche.

Si le club est agréé par la Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse et des Sports pour tous les stages (ski, escalade) qu'il organise (c'est une obligation de la loi de se déclarer), il n'en va pas de même pour la CAF qui ne veut PLUS participer pour les séjours ou stages dits SPORTIFS. Dommage pour vous qui n'aurez que d'autre choix que de payer "plein pot" ou d'envoyer vos enfants en "colo" à un prix bien plus conséquent.

Par contre, si votre enfant a entre 14 et 17 ans, qu'il s'investit dans les semaines des Inserts Sports de Février, Pâques et  Toussaint durant toute leur durée, le club essaiera dans la limite de ses possibilités, de réduire le coût du stage.

Avec la nouvelle réglementation des centres de vacances, tous les clubs sportifs ont obligation de déclarer leurs séjours et stages à la Direction D.R. de la Jeunesse et des Sports de leur département. Celle-ci leur donne un numéro d'agrément sous réserve qu'ils suivent la réglementation des dits séjours et stages et l'une des obligations est que ceux-ci "ne doivent être ouverts qu'à leurs seuls adhérents -donc licenciés-. En conséquence, le club ne peut accepter que DES LICENCIES de CHEZ LUI.
A noter que pour nos stages, le directeur déclaré est LE PRESIDENT et les animateurs NOS MONITEURS DIPLOMES de la FFS ou de la FFME.

"Tout dépend  de qui sont les Parents" !!! (plaisanterie !).
 

C'est connu tous les enfants aiment à se confronter aux autres. Si le club possède une équipe de compét de ski, celle-ci ne tourne pas toutes les années. Motifs :
- il faut que l'enneigement soit là,
- il faut qu'un cadre du club accepte la mission : gérer les trajets, gérer les convoc, gérer les inscriptions auprès du club organisateur, gérer les entraînements (on s'entraîne l'hiver, mais aussi l'été !), gérer les résultats ... bref ... il y a aussi un gros boulot !!!,
- il faut que le prétendant sache skier ce qui peut demander trois saisons (entraînements, sorties, stages) pour atteindre le niveau "flèche" des tests ESF,
- il faut que les parents prévoient un budget (2 000 € pour une année) : même si seuls les frais de forfaits des entraînements sont à la charge du compétiteur, ce dernier doit surtout avoir un matériel dit de compétition, sans oublier les différents stages de ski à suivre !,
- il faut que futur compétiteur et parents ne rebutent pas à se lever très, très tôt  quelques dimanches (5h du mat) : certaines compét sont à 2h de route de Lunéville et prévoir 1h d'avance sur place (équipement, échauffement, reco du parcours),
- enfin, l'intéressé doit aussi passer par la case "accord des coachs" : outre les aspects ci-dessus il y a aussi une clause  RESPECT et DEVOIRS du futur compétiteur.

Oui, à l'issue de la saison, pratiquemment le dernier wee-end d'ouverture de la station de la Mauselaine, tous les adhérents peuvent participer aux tests de l' ESF. Si nos Moniteurs s'occupent tout l'hiver de votre enfant, c'est malgré tout à l' ESF que le club s'adresse pour leur faire passer les flocons et étoiles. Ce jour est aussi festif pour tous, puisque les parents y sont conviés. Les résultats et remise des médailles sont proclamés au restaurant par le Directeur de l' ESF entouré de ses "pulls rouges" du jour. Après quoi tous se restaurent ensemble et, si repas et apéro ont été légers, peuvent repartir sur les pistes l'après-midi.

Mais attention : si l'enfant manque plus d'une séance par mois, le club ne le présentera pas à ces tests. En effet, nos animateurs bénévoles ne peuvent endosser un quelconque échec qui ne serait de leur fait.

Plus sérieux :
Dans la plupart des cas, le châlet familial qui nous reçoit héberge aussi d'autres personnes extérieures à notre groupe, et à 70, il y a forcément du bruit ! Sachant les tarifs pratiqués et que nous devront partager avec eux ces installations, c'est à chacun de faire en sorte que la cohabitation se passe au mieux. En dernier ressort, il ne reste que...  l' hôtel !